qui sommes-nous

Histoire d’Ibuka

Ibuka- Mémoire, Justice et Soutien aux rescapés, est une Organisation Non Gouvernementale qui oeuvre pour la mémoire du génocide des Tutsi du Rwanda, la justice envers les responsables de crimes génocidaires et le soutien aux rescapés des massacres perpétrés en 1994 sur les collines du Rwanda. Association de loi 1901, Ibuka-France a créée le 29 octobre 2002 à Niort et déclarée à la Préfecture des Deux-Sèvres le 26 novembre 2002 (N°3930 du JO du 18 janvier 2003). IBUKA, en Kinyarwanda veut dire « Souviens- toi ». Le souvenir de cette tragédie et de ses origines est essentiel pour que l’humanité bâtisse un monde de paix.

Le présent site est consacré à l’actualité en matière de justice, d’actions concrètes de soutien aux rescapés, de manifestations diverses (colloques, conférences, débats …) ; il annoncera et décrira toutes les activités de Commémorations et d’actions pour la Mémoire ainsi que toutes celles liées à l’objectif de lutter contre le négationnisme.

Il s’efforcera de proposer une documentation non exhaustive, au fur et à mesure de la sortie de films, livres, documents et pièces de théâtre, ainsi que toute manifestation culturelle.

En mars 2014, Ibuka France a été reconnue d’intérêt général.

Son N° Siret est: 520 868 274 00017 (10 mars 2010)

« D’après les éléments communiqués, votre association a pour activité principale en France, notamment à travers des témoignages, de retracer, de conserver et de sensibiliser le public et les instances publiques au massacre des Tutsi, afin de détruire les fondements culturels et moraux de cette société, et à entretenir sa mémoire en érigeant des lieux de mémoire et en organisant des cérémonies. De plus, votre association aide à la recherche des survivants, en France et au Rwanda afin qu’ils puissent se faire reconnaître comme victimes et être aidés. Votre association étant gérée de manière désintéressée, exerçant une activité non lucrative, et ne fonctionnant pas au profit d’un cercle restreint de personnes, remplit la « condition d’intérêt général». Les diverses actions déployées en France visant à faire connaître la persécution au Rwanda et les personnes persécutées, et à conserver la mémoire du génocide, qui est reconnu comme tel par les tribunaux français, peuvent être considérées comme des actions de protection du patrimoine dès lors qu’elles sont entreprises dans le respect de la neutralité axiologique, inhérente à toute démarche historique. De telles actions revêtent le caractère culturel,

En conclusion, au vu des éléments communiqués, la situation évoquée me permet de considérer que votre association entre dans le champ des dispositions dont vous demandez le bénéfice ».